Lors du débat du conseil consacré à leur rôle dans la lutte contre l’extrémisme violent, Ban Ki-moon avait bel et bien souligné que les jeunes représentent l’espoir et non pas un danger. Au moment où nous assistons à un monde ou les valeurs morales sont mises en exergue, la situation du lendemain est plus qu’incertain, il est fort conseillé rappeler la conscience de nos jeunes à ne pas baisser les bras. Si l’on cherchait à savoir, quand on parle de l’espoir de demain, qu’est-ce qui vous vient en tête en tant que jeune ? As-tu déjà pris le temps de réfléchir sur le sens de ta vie et son avenir ? Dans l’expression « jeunesse espoir de demain »
il y a bien un souci qui se laisse tracer derrière cette phrase qui simplement voudrait amener la conscience des jeunes à bien avoir la conscience qu’ils sont les acteurs pour l’avenir du demain. Pour ce faire, vous avez intérêt de :
- Savoir quel est votre objectif : Aujourd’hui les jeunes vivent sans objectif. Cela pourrait s’expliquer juste parce qu’il n’y a pas de motivation pour leur avenir. A quoi bon de se fixer un objectif aussi longtemps que notre future ne promet absolument rien ? Ceux qui finissent leurs études chôment à la maison sans travail. Mais hélas, quand bien même beaucoup pensent que leur avenir semble être flou, ne vous en faites pas car savoir établir vos objectifs est la première chose à faire. Quand nous faisons un bon choix pour notre future, cela augmente au même moment notre confidence. Imaginez-vous avoir un objectif pour votre vie, et vous vous impliquer à suivre cet objectif jusqu’à l’accomplir. C’est avec plaisir que vous observer beaucoup qui prenent leur temps en train de se détendre, aller pour des vacances, à la plage… sont ceux qui se sont fixé un objectif dans la vie. Parmi eux beaucoup passent leur temps en train de jouer aux jeux sur casinos en france.
- Changer les mentalités des jeunes face au fossé qui continue de se creuser dans la vie actuelle. L’effort de ce changement de mentalité ne peut venir d’ailleurs si ce n’est qu’à travers les jeunes eux-mêmes. L’écho qui se fait sentir aujourd’hui au sujet des jeunes n’est rien d’autre que de faire croire que c’est une génération perdue, mais je crois fermement qu’il y a lieu d’inverser cette tendance.